A propos

Le métier de sage-femme est pour moi une réelle vocation depuis mon entrée dans l’adolescence. Mon parcours scolaire s’est toujours orienté en ce sens. J’ai été formée par l'école de sage-femme de Toulouse et la maternité Paule De Viguier (CHU de Toulouse), l’une des plus grandes du Sud Ouest de la France. Mon parcours m’a aussi permise de quitter ma région pour découvrir des pratiques différentes, davantage centrées sur la physiologie de la grossesse et de l’accouchement, notamment lors de mon stage de fin d’études à Grenoble.

Très préoccupée par les droits et la santé des femmes, je me suis également tourné vers la pratique de la gynécologie ou encore de l’orthogénie, qui me passionnent. Formée à l’IVG médicamenteuse en ville par le réseau REIVOC au cours de l’année 2023, je pratique les interruptions volontaires de grossesse au cabinet jusqu’à la 9ème semaine d’aménorrhée.

J’obtiens mon diplôme d’Etat de sage-femme en juin 2023. Par la suite, je déménage en région Parisienne où j’exerce pendant plus d’un an comme sage-femme hospitalière, dans une maternité de niveau 1, en salle de naissance et suites de couche. Je me lance en libéral au mois d’octobre 2024, au sein d’un cabinet pluridisciplinaire, que je partage avec un médecin généraliste et une équipe de psychologues.

Je consulte au cabinet les lundis et vendredis de 9h à 18h30, le mardi de 9h30 à 19h30 ainsi que certains samedis de 9h à 13h. Je propose également les consultations en téléconsulation. Je n’effectue pas de consultations à domicile.

Accompagner chaque femme tout au long de sa vie génitale est l’essence même de mon métier. Il me semble important que chaque femme soit active de sa santé, et puisse en comprendre les tenants et aboutissants afin de prendre des décisions éclairées. La liberté, l’éducation sont le centre de ma pratique, et il me tient à coeur d’accompagner chacune de mes patientes au plus proches de ses choix.

Actualités du cabinet

DRY JANUARY : 

En janvier, le défi "Dry January" est organisé afin de sensibiliser chacun.e sur sa consommation d'alcool. C'est également l'occasion de rappeller les effets néfastes de l'alcool sur la santé et particulièrement pendant la grossesse : 

Quelle que soit la dose bue, l’alcool ingéré par une femme enceinte passe presque intégralement dans le sang du fœtus à travers le placenta. L’alcool a un effet tératogène (risque de malformations) en période embryonnaire (trois premiers mois de la grossesse) et neurotoxique sur le cerveau du fœtus tout au long de la grossesse.

Cela peut avoir des effets irréversibles sur le bébé. Le plus souvent, lorsque la consommation d'alcool est modérée, il s’agit de troubles des apprentissages, de l'adaptation et du comportement appelés troubles causés par l'alcoolisation fœtale (TCAF).

A plus forte dose, l'enfant présente un syndrome d'alcoolisation foetale (SAF), caractérisé par : 

  • des anomalies du visage : nez court, lèvre supérieure mince, menton petit et en retrait, fentes des paupières étroites, oreilles basses et mal ourlées
  • un retard de croissance affectant également le crâne
  • des handicaps comportementaux et/ou cognitifs observés dans près de 50 % des cas
  • des malformations d'organes plus fréquentes

Il n'a pas été mise en évidence une dose en deçà de laquelle les risques sont nuls, c'est pourquoi, dans le doute, on adopte la règle de "ZERO ALCOOL PENDANT LA GROSSESSE"

Pour aller plus loin :